France – Italie: L’intrication bancaire.

La crise des dettes souveraines de 2012 à 2015 avait souligné la vulnérabilité des emprunts de certains Etats, dont l’Italie, à toute baisse de la liquidité sur les marchés et à la dégradation de la conjoncture économique. Les banques et assureurs avaient alors considérablement réduit leur exposition transfrontalières, se recentrant sur leurs marchés domestiques, y compris pour les investissements dans la dette souveraine. Depuis 2015, l’augmentation de la dette italienne a été absorbée par les achats de sa banque centrale nationale dans le cadre de la politique monétaire accommodante, comme celle des autres pays, dont la France. Dans le même temps les relations financières entre les banques / assurances françaises et italiennes se sont considérablement renforcées, exposant de fait indirectement ces établissements aux problématiques spécifiques à chacun de ces deux états. Cette étude

Chypre: Les véritables raisons de la crise bancaire de 2012

La crise bancaire Chypriote de 2012 n’est pas connue pour l’ampleur des sommes mises en jeux, mais par le fait qu’historiquement, pour la première fois dans la zone Euro des déposants ont vu leurs actifs être perdus ou convertis dans le capital des banques restructurées. Pourquoi cette procédure a-t-elle été mise en oeuvre dans ce pays, et pas en Irlande, au Portugal ou en Grèce ? Les causes de cette crise bancaire étaient-elles fondamentalement différentes de celles de la crise Grecque, alors que ces économies sont très semblables et intriquées ? Quelle était la proportion de l’économie bancaire chypriote liée à la Fédération de Russie? Avec le recul, cette étude tente de répondre à ces questions.

France: Production versus Création de richesses

Le Produit Intérieur Brut est l’instrument de mesure le plus utilisé pour décrire la production de richesse d’une économie. Cependant, la définition de son périmètre est peu connue, en dehors des spécialistes, et parmi les citoyens, rares sont ceux qui pourraient distinguer la production de la création de richesse d’un pays. Cette étude se propose de réfléchir sur ces deux notions, en particulier en analysant la création de richesse par l’inflation de la valeur des actifs, liée à l’augmentation de la masse monétaire.

France – Chine: Origine du Sars-Cov2, Méta-analyse de 209 publications de recherche

La pandémie de la Covid 19 en janvier 2020 a profondément bouleversé le monde depuis deux années. Très rapidement l’hypothèse d’une origine non naturelle du virus a été balayée par les autorités scientifiques américaines, européennes et chinoises. Depuis une année, l’hypothèse d’un accident de laboratoire, qualifiée de complotiste par la plupart des gouvernements, des médias et des géants du numérique peut être publiquement envisagée. Cette méta-analyse de 209 publications de recherche sur l’épidémie analyse la rationalité des arguments logiques soutenant les deux hypothèses, sur la base des faits décrits dans ces études.

L’Economie Française est-elle (pré)déterminée ?

Au sens scientifique, la (pré)détermination se réfère à l’idée selon laquelle un fait est déterminé non pas par un hasard aveugle, mais fixé d’avance dans ses causes. A priori, selon la théorie économique, le PIB en valeur évoluerait en fonction de variables telles que le volume d’heures travaillées, le montant de capital investi, les changements de productivité, le progrès technique, les politiques économiques mises en œuvre…En ce qui concerne la France, pourrait-on opérer une réduction de ces variables su seul temps qui passe, indépendamment de toutes les autres et valider cette hypothèse sous la forme d’un calcul analytique ? C’est la problématique que souhaite examiner ce rapport à travers la mesure du PIB en valeur en France sur longue période.